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STOP A L'EXPLOITATION ANIMALE

STOP AU CRUEL DETERRAGE DES BLAIREAUX

26 Novembre 2013, 13:44pm

Publié par VGBIO

JE RELAYE CE COMMUNIQUE DE ONE VOICE ET LA PETITION DE L'ASPAS

AGISSONS POUR QUE CETTE PRATIQUE HORRIBLE CESSE!

Dans de très nombreux pays d' Europe, dans les pays civilisés et où le lobby de la chasse ne règne pas au gouvernement, LE BLAIREAU EST UNE ESPECE PROTEGEE!

http://www.one-voice.fr/loisirs-et-compagnie-sans-violence/stop-au-massacre-des-blaireaux/

Chaque année en France, des milliers de blaireaux sont exterminés dans des pratiques barbares au nom de la chasse loisir. One Voice s’associe à l’ASPAS dans le cadre de sa campagne contre le déterrage des blaireaux. Agissons ensemble pour mettre fin à ces traditions barbares !

Le blaireau en France
S’il ne fait pas partie de la sombre liste des animaux nuisibles, le blaireau est en France considéré comme un gibier. Contrairement à la plupart des pays européens comme l’Angleterre, les Pays-Bas, l’Espagne ou la Grèce, où il est protégé, il peut donc être chassé de la mi-septembre à la fin février. Mais cet animal nocturne, amateur de lombrics et d’insectes, peut aussi être « déterré » selon dérogation jusqu’au mois de mai.

Le déterrage
Le déterrage est une chasse aussi appelée vènerie sous terre, qui consiste à lancer des chiens sur la piste des blaireaux et de les traquer jusque dans leur terrier avant de les y extraire brutalement à l’aide de pinces mutilantes et de les abattre. Cette pratique nécessite une longue traque, et surtout de retourner la végétation pour creuser de larges et profondes cavités afin de mettre à l’air le refuge de l’animal acculé pendant des heures face aux chiens.

Une pratique cruelle
Si l’on entend souvent les chasseurs justifier leurs actes pour « déplacer les blaireaux » vers des zones où ils ne causeront plus de dégâts, force est de constater qu’un animal mutilé par la capture et ayant subi un stress intense durant des heures aura peu de chances de survivre une fois relâché.
Dans la majorité des cas, ils sont abattus au fusil, au couteau ou honteusement achevés à coup de pelle. Mais il arrive aussi qu’ils soient abandonnés aux chiens qui les éviscèreront dans des souffrances innommables.

Un animal persécuté
Le blaireau a de tout temps souffert d’une mauvaise réputation. En témoignent les nombreuses expressions péjoratives qui lui sont associées dans le langage familier de la langue française.
Sa présence près des champs de maïs ou dans nos forêts n’est jamais bien vue et on l’accuse de nombreuses dégradations bien souvent exagérées. Celles-ci resteront pourtant bien discrètes en comparaison des chantiers de destruction laissés par les chasseurs après un déterrage !

Un vecteur de maladies ?
Autre cause de cet acharnement, le blaireau est au même titre que le sanglier ou le cerf, porteur d’une bactérie susceptible de transmettre la tuberculose bovine aux animaux d’élevage.
Le principe de précaution est alors l’argument phare pour les chasseurs qui, autorisés par les préfets, pourront l’exterminer même durant la période où les mères s’occupent des jeunes. À ce jour pourtant, le pourcentage d’individus porteurs reste infime…

Agir
Sans études scientifiques sérieuses pour justifier l’arrêt de ces massacres, le déterrage de blaireau restera le meilleur moyen de pratiquer la chasse même en dehors des périodes d’ouverture et d’en faire un véritable loisir !
Vous pouvez agir en signant et en diffusant la pétition en ligne sur le site de l’ASPAS, ou écrire à vos élus et au ministre de Ministre de l’Écologie (Ministère de l’Écologie, du Développement Durable et de l’Énergie – 246 boulevard Saint-Germain – 75700 PARIS).
Vous pouvez aussi télécharger la lettre type pour demander au Premier Ministre, l’abolition du déterrage et la protection du blaireau.

STOP AU CRUEL DETERRAGE DES BLAIREAUX
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